Le biocontrôle ARMICARB® est efficace face à la montée en puissance de l’oïdium en vigne

En 2021, 97% des surfaces de vignes ont été concernées par l’oïdium. Cependant pour lutter efficacement contre cette maladie, les solutions se raréfient. Il faut en outre gérer les résistances et les enjeux HVE.  Aussi, le biocontrôle devient-il une alternative pertinente pour faire face, à condition de garantir l’efficacité. ARMICARB® fongicide bio et biocontrôle, sans résistance connue à ce jour, a fait ses preuves dans les vignes depuis presque 10 ans. Il est plébiscité par ses utilisateurs.

Un fongicide de contact biocontrôle, bio et sans résistance

ARMICARB® agit par contact sur le champignon pathogène. En provoquant la déshydratation des spores et des hyphes mycéliens, il assèche le champignon présent. Grâce à la neutralisation des enzymes produites par le champignon pour infecter la plante, ARMICARB® prévient tout nouvelle contamination.

 

Préventif et stoppant, il s’utilise tout au long de la saison en association avec du soufre.

« 3kgs d’ARMICARB®  + 2 à 6 kg de soufre positionné en pré ou post floraison permettent de contrôler l’oïdium tout en diminuant les doses de soufre » explique Johanna SIGEL, Chef Marché Vigne DE SANGOSSE.

ARMICARB® est efficace en début de saison pour nettoyer l’oïdium présent des parcelles dites « à drapeaux », des cépages sensibles ou suite à une forte pression l’année précédente. Sa polyvalence lui permet de lutter efficacement contre l’oïdium et le botrytis à partir de fermeture de grappe.

En vigne, le produit est autorisé jusque 8 applications par hectare et par an. Grâce à son action multisite, ARMICARB® n’a aucune résistance connue à ce jour.

Une matière active boostée par une composition équilibrée

Le bicarbonate de potassium, matière active de l’ARMICARB®, lorsqu’il est pur est rapidement lessivé. Sa durée d’efficacité est donc limitée et ne permet pas l’utilisation en préventif car les cristaux se répartissent mal sur la végétation.

ARMICARB® s’affranchit de ces contraintes grâce à sa formulation contenant 85% de bicarbonate de potassium et 15% de co-formulants :

  • Les co-formulants mouillants permettent une répartition complète, homogène et sécurisée du produit.
  • Les co-formulants adhésifs augmentent la résistance au lessivage et prolongent ainsi la durée de protection. 

Une réponse concrète aux cahiers des charges

Listé biocontrôle et utilisable en agriculture biologique, ARMICARB®, contribue à la baisse de l’IFT conventionnel des programmes fongicides. Son absence de Limite Maximale de Résidus et de classement tox/écotox lui permettent de répondre à toutes les exigences de production. 

Des utilisateurs satisfaits

Thomas Rieflé, vigneron dans le Haut Rhin : “Avec l’ARMICARB®, l’oïdium a été arrêté sans brûlures”.

 

André Serex, vigneron en Suisse : “Je suis assez satisfait de l’ARMICARB® pour réduire les doses de soufre”.

Avec la solution de biocontrôle ARMICARB®, les viticulteurs peuvent maintenir une protection anti oïdium efficace sans risque de résistance grâce à des vertus décuplées par une formulation exclusive.

 

 



ARMICARB® –
AMM n° 2110059 – 850 g /kg de bicarbonate de potassium – ®Marque déposée de Church & Dwight, Détenteur de l’AMM : DE SANGOSSE
P260 : Ne pas respirer les poussières. P262 : Eviter tout contact avec les yeux, la peau ou les vêtements. P280 : Porter des gants de protection et des vêtements de protection. P501 : Eliminer le contenu/récipient conformément aux réglementations locales/ nationales. SP1 : Ne pas polluer l’eau avec le produit ou son emballage. Ne pas nettoyer le matériel d’application près des eaux de surface. Eviter la contamination via les systèmes d’évacuation des eaux à partir des cours de ferme ou des routes.  SPe3 : Pour protéger les organismes aquatiques, respecter une zone non traitée de 5 mètres par rapport aux points d’eau. SPe3 : Pour protéger les arthropodes non cibles, respecter une zone non traitée de 5 mètres par rapport à la zone non cultivée adjacente,



EUH401 : Respecter les instructions d’utilisation pour éviter les risques pour la santé humaine et l’environnement